Le point : l’ACAF continue à préconiser de meilleures mesures de protection pour les dénonciateurs
Au cours des dernières semaines, vous avez peut-être constaté une hausse de la couverture médiatique concernant le rôle des dénonciateurs et la nécessité de mieux les protéger dans la fonction publique. La protection des dénonciateurs est l’une des grandes priorités de l’ACAF, une que nous préconisons à l’échelle nationale et internationale depuis des années.
Comme nous l’avons déjà mentionné, le Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires a récemment invité l’ACAF à participer à son examen de la Loi sur la protection des fonctionnaires divulgateurs d’actes répréhensibles et des mesures de protection afférentes. L’ACAF a comparu devant le comité et présenté un mémoire dans lequel elle formulait des recommandations visant à renforcer les mesures de protection des dénonciateurs dans la fonction publique.
Depuis, des représentants de l’ACAF ont rencontré des députés de toutes allégeances politiques afin de faire valoir ses recommandations et de veiller à ce qu’elles soient bien comprises. Nous continuons à assister aux réunions d’examen du comité et à participer aux discussions avec les députés et les hauts fonctionnaires à cet égard.
Si vous estimez avoir constaté des actes répréhensibles dans votre milieu de travail, veuillez communiquer avec les Relations de travail. N’oubliez pas que toutes les conversations avec un conseiller ou une conseillère en relations de travail sont strictement confidentielles. L’ACAF n’agira jamais – y compris communiquer avec votre employeur – sans votre consentement explicite. Le fait de communiquer avec un conseiller ou une conseillère en relations de travail ne vous engage pas à donner suite à une plainte, à un grief ou à un processus de règlement des différends.